Le Président Abdelaziz Bouteflika convoque le corps électoral, au désarroi des cercles d’ombre qui tentent de jouer au temps perdu, pour sauver leurs intérêts et ceux de leur parrain. Des cercles qui bénéficiaient de la stabilité et de l’instabilité qu’a connu le pays, ils bénéficiaient également des années de sang et de ravage, pour faire apparaitre des milliardaires, lors de la crise et après.
Aujourd’hui, les choses ne sont pas claires, l’image est floue, le futur est discret, et la caravane est à l’arrêt, mais, les chiens de garde, les chiens enragés, et les chiens errants aboient encore. Même les partis se noient dans les conflits et leur destin est entre les mains des barons de la corruption.
Les personnages nationaux, si peu, savent bien que le Président les connait, et il connait également leurs moindres secrets, ils sont choqués, ligotés et sans aucun pouvoir. Le Chef du reste des islamistes Mokri pleure son initiative comme pleure une femme stérile de sa fausse grossesse ! Alors que les grands pays tel que les Etats-Unis et la France ont « Ould Kadour », et celui-ci a une feuille de route.
En conclusion, la voie est ouverte devant le Président s’il veut rester au palais d’El Mouradia, parce que le substitut est introuvable, même s’il existe, il est pire et ne peut rien donner de plus, dans les défis intérieurs et extérieurs.
La politique, c’est des projets, des programmes, du courage et de la continuité…c’est ce qu’a bien compris le Président et l’a bien appliqué lors de son arrivée à la présidence en 1999, contrairement au banc de touche politique, qui attend « Elmahdi » le dernier des sauveurs à l’ère de « Yadjouj et Madjouj » où tout le monde veut présider l’Algérie, c’est vraiment la honte et la décadence ! Que Dieu te garde pauvre Algérie.