A l’approche de la présidentielle, la fièvre d’amadouement et de séduction commence à s’élever chez quelques espèces politiques qui commencent à se trouver de la place et du refuge auprès de Sublime Porte. Certains personnages politiques et ex-ministériels se sont transformés en odalisques de « Harem » et leur slogan est le dévouement et l’obéissance. L’opposition à son tour est entrée dans état de déséquilibre total, parce qu’elle est encore sous le choc de la convocation du corps électoral, par conséquent, le mouvement de citoyenneté qui réclamait le changement, s’est tourné brusquement en une commission de soutien pour le général polémique Ghediri, après s’être assurée qu’elle chante en dehors de l’essaim, qu’elle manque de base populaire et de programme politique, et surtout qu’elle est infiltrée.
Avant quelques mois, tous les indices indiquent qu’on revivra le scénario de 2004 dont Ali Benflis en fait encore des cauchemars, à cause des candidats extravagants et des jokers du temps additionnel.