La sagesse et les bonnes perspectives du chancelier autrichien Sebastian Kurtz ont dominé le sommet européen de Bruxelles pour s’accorder sur un plan européen unifié pour l’avancement économique de la politique post-Corona.
En effet, le chancelier à travers son discours rationnel et ses analyses objectives, a inquiété le président français Emmanuel Macron qui a exigé en accord avec son alliée traditionnelle, la chancelière allemande Angela Merkel, à l’Union européenne de faire un prêt d’une valeur de 750 milliards d’euros pour faire avancer l’économie européenne et aider les pays dont les économies ont été touchées par la pandémie Corona, comme l’Italie, l’Espagne et la Grèce.
Mais les pays que l’on appelle pays économiques comme l’Autriche, les Pays-Bas, la Suède, le Danemark et la Finlande ont fortement exprimés leur réserve sur le montant et ont proposés 250 milliards d’euros au lieu de 750 milliards. Cependant, le président français ne veut pas baisser à moins de 400 milliards d’euros, ce qui est la même position que l’Allemagne.
Cependant, par perspicacité et sagesse, le chancelier autrichien, qui est devenu célèbre en Europe, a commencé à se défendre politiquement, il veut connaître le sort des fonds qui seront accordés sous la forme d’un prêt allant jusqu’en 2027, une position soutenue par les pays économiques qui ne veulent pas risquer le sort de leurs peuples pour la théorisation, le populisme et la politique à des fins électorales, ce que tout le monde a compris.
Par sagesse, le chancelier autrichien « Sebastian Kurtz » place toujours les intérêts de l’Autriche en premier et l’Europe en second et cela est logique, contrairement au président français qui aime le SHOW et les discours vides pour son intérêt électoral personnel au détriment de l’intérêt de la France et de l’Europe.
Prenez la sagesse de Vienne.c