Gorbatchev du golfe et les subordonnés de l’histoire

Il y a une grande similitude entre l’histoire et le théâtre, et les chercheurs savent très bien qu’il y a un lien étroit entre le théâtre et l’histoire dans une certaine mesure, ce lien semble logique … et il n’y a pas de transgression qu’on dit parfois le théâtre de l’histoire et la scène politique et les scènes de crime et de combat …

Le terme théâtre « scène » dans l’histoire est courant et se retrouve dans les écrits et sur les langues car, en fait, il y a un lien entre les deux, l’histoire est le cours des événements et le théâtre est un espace pour l’incarner artistiquement et dramatiquement.

Et l’histoire, en fait, est une vie élargie dans laquelle il y a des guerres et des conflits entre les peuples et les nations pour la suprématie, l’hégémonie et parfois la survie.

Nous faisons, ici une projection sur le Golfe parce qu’il n’a pas vécu la discorde et l’hypocrisie comme il le vit aujourd’hui, l’état de siège des frères ennemis de l’état du Qatar et des conflits internes et de la réputation extérieure que personne n’envie.

Les princes arabes se sont précipités vers le rusé «Jared Kushner» qu’ils n’ont pas bien su estimer de part ses capacités diplomatiques et son influence extérieure, les princes se sont bousculés vers la normalisation et le vente de leurs pays pour la sécurité, ils recherchent la protection et pour eux il n’y a pas de protection sans le système de sécurité israélien, le mythe de l’erreur est toujours nul pour eux.

Cette ruée me rappelle l’effondrement de l’ex-Union soviétique, sa chute humiliante et la désintégration d’un état. Alors, à la lumière de la situation actuelle, le Conseil de coopération du Golfe sera-t-il comme le cas de l’ex-Union soviétique, et qui est Mikhail Gorbatchev du Golfe qui provoquera l’effondrement et la désintégration du Golfe arabe? Même si la réponse est connue.

L’histoire ne conserve dans ses archives que les grands, donc avec ou sans normalisation, il n’y aura pas de deuxième Anouar Sadat, Yasser Arafat, ni de roi Hussein, que Dieu ait pitié d’eux tous. Quant au prix Nobel de la paix, il ne sera pas du Golfe tant que Dieu n’aura pas hérité de la terre et de ceux qui s’y trouvent.

Vous serez des subordonnés de l’histoire, les arabes et musulmans en sont témoins, Ô Arabes, votre biographie ne sera jamais une «colline parfumée», comme l’a dit un certain poète.

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