Ce qui devrait être dit: La France entre diplomatie parallèle et intérêts cachés ? !

La diplomatie française à l’époque du président Emmanuel Macron et à l’époque de son ministre des Affaires étrangères, « Le Drian » est devenue la diplomatie des réactions et des communiqués, ni plus ni moins, elle n’a eu aucun effet dans la crise libyenne ou au Yémen et n’a eu aucun rôle dans la normalisation israélo-golfe.

Et dans certains cas elle est éclipsée par les opérations armées, par exemple, au Mali ou en Libye, et c’est quelque chose de nouveau dans la doctrine de la diplomatie française, c’est peut être la confusion dans l’esprit des dirigeants de la diplomatie française ou un manque de clarté de vision pour ne pas dire des lacunes, qui ont poussé la France ou le bureau noir de Macron à recourir à la diplomatie parallèle pour réaliser des gains et servir les intérêts cachés de la France.

C’est ce à quoi a eu recours l’ami proche du président français, l’ancien agent de sécurité Alexandre Benalla, fondateur d’une société de relations publiques pour le continent africain, qui a visité plusieurs pays africains en utilisant un passeport diplomatique et a rencontré, récement  à l’hôtel Sofitel à Paris Le président du Guinée Bissau Umaro Sissoco Embaló, il était accompagné d’un haut fonctionnaire à l’Elysée, « Ledovic Shaker », ancien secrétaire général de Parti à l’époque du ministre français de l’Economie Emmanuel Macron.

La rencontre s’est déroulée en présence de l’avocat franco-libanais, Robert Bergé, l’avocat spécialiste dans les relations économiques commerciales suspectes et en présence particulière de l’ancien président français Nicolas Sarkozy.

La question est pour qui la diplomatie parallèle travaille-t-elle loin des canaux officiels? Pourquoi un pays comme la France a-t-il recours à une diplomatie parallèle ou en coulisses loin de la transparence et de la clarté avec lesquelles les pays civilisés sont censés traiter, ou peut-être que les profits  économiques et les intérêts particuliers ont poussé Macron à recourir aux services de «Benalla» et de «Sarkozy»? Cela se produit alors que la France est noyée dans les problèmes du Mali et de la Libye.

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