La Libye a le droit de vivre en harmonie et en paix loin des calculs géostratégiques internationaux et aussi loin des ambitions régionales de certains pays, qui voient en la Libye le fin de leur crise économique.
La conférence de Paris ne fait ni avancer, ni ne fait tarder, la solution est entre les mains des libyens en organisant des élections présidentielles libres et équitables loin des diktats des bourreaux.
Celui qui a détruit la Libye hier ne peut pas être la solution aujourd’hui. C’est plutôt lui la racine du problème, de la crise et des ravages qui ont frappé le pays d’Omar Al-Mokhtar.
Cependant, l’Algérie a été parmi les premiers pays pour une solution pacifique à sa crise, sans exclure aucune partie, et aujourd’hui elle fait la même proposition, mais avec la sortie de tous les mercenaires et meurtriers, et l’exclusion des agents de guerre de toute solution à la crise, pour que la Libye retrouve son rôle en Afrique et dans le monde arabe comme nous en avons eu l’habitude par le passé.
Laissons le peuple libyen choisir son président loin des théories sionistes de Bernard Henry Levy et loin des cheikhs du sang et de la destruction.
Le peuple libyen n’a pas besoin de tierces personnes pour décider à sa place.