Les perdants et la fin de l’histoire

Ce que certains cercles politiques et personnalités font ces jours-ci en exigeant un chaos créatif pour atteindre leurs objectifs politiques et sociaux, est une politique perdante qui se pratique de l’étranger avec des pions qui ont un passé noir.
Il n’y a pas de réelle opposition politique, ni pensées politiques, ni de revendications légitimes, un changement radical dans la pratique de l’opposition de l’étranger, de l’opposition formée par feu leader Ait Ahmed, Ali Messili, Hocine Zahouane, Hadj Ali et Ali Kaaouane à l’opposition de Zouzou et chouchou.
C’est l’humiliation politique et la chute libre de la pratique politique et la faillite totale des idées, tout cela se passe à cause des réseaux sociaux que ces gens ont exploités pour répandre leurs toxines destructrices.
Aujourd’hui, le gang et ses symboles derrière les barreaux veulent toujours brûler la patrie pour leurs intérêts personnels et ceux de leurs maîtres d’outre-mer, en utilisant les restes de leurs queues dans toutes les institutions au profil du « Makhzen » marocain et quelques cheikhs du Golfe qui pariaient sur leur candidat Avec le slogan de « la cigarette la plus vendue au monde ».
Aujourd’hui, al-Makhzen et l’écume de la culture veulent enflammer la discorde pour transformer l’Algérie en Libye et détruire la patrie des martyrs.
L’histoire est terminée et l’heure du sérieux est arrivée pour construire une nouvelle Algérie avec des compétences nationales, C’est le droit du peuple algérien de manifester, mais les agissements des services de renseignements étrangers avec des agendas de sang et de destruction ne sont pas autorisés en Algérie, l’Algérie de Boudiaf, Amirouche, Mehri, Ait Ahmed et Chaabani.
L’armée est dans le dédale de la politique alors qu’elle est sensée avoir rôle de protection de la patrie des traîtres, et par ailleurs cette première année du président populairement élu M. Abdelmadjid Tebboune est une année de la récession mondiale due à la pandémie Corona et l’effondrement des prix du pétrole, et la réforme de la politique de deux décennies de situation catastrophique n’est pas une tâche facile.
Alors patience pour ce cher pays, la démocratie est un acquis, la liberté d’expression est un droit sacré, lutter contre la corruption est un devoir national, et l’amour de l’Algérie est une foi et vive l’Algérie.