Actualités
Algerian Television Triumphs with Five Awards at the Arab Festival under Mohamed Baghali’s Leadershi... La télévision algérienne brille au Festival arabe et remporte cinq prix prestigieux sous la directio... Cour africaine des droits de l’Homme : la magistrate Chafika Bensaoula élue vice-présidente Sahara occidental: l'Algérie regrette le soutien du Royaume-Uni au prétendu plan d’autonomie marocai... Les officines françaises poursuivent la gestion des relations algéro-françaises par des fuites organ... Timor-Leste : le droit du peuple sahraoui à l'autodétermination réaffirmé avec force au séminaire an... «Peut-être»: Donald Trump Junior n'exclut pas de se présenter à la présidence un jour En Floride, une sécheresse extrême affecte faune et tourisme dans les Everglades Ukraine: le Kremlin dément faire traîner les pourparlers en vue d'une fin du conflit Vent d'optimisme: le bitcoin bat un nouveau record L’un des plus gros jeux de 2024, Metaphor: ReFantazio, s’en vient sur Game Pass L’accord international sur les pandémies est adopté à l’OMS Zelensky accuse la Russie de chercher à «gagner du temps» dans les discussions Nike va relever ses prix aux États-Unis, sur fond de droits de douane Les renégats du NET : « Influenceurs » vénaux au service du plus offrant L'ambassade de la norvége en algérie..Célébration de la fête nationale du royaume L'ambassade de la norvége en algérie..Célébration de la fête nationale du royaume WE DEMAND, WE INSIST ON HUMANITY FOR GAZA Flux de fake news sur le net Par quel bout contenir le mensonge Finale algérienne de la 24ème édition du concours international « Pont chinois » destiné aux étudian...
À la UneL’editorialSlider

Le Makhzen et les droits de l’homme … De Ben Barka, la famille Oufkir, Sarfati à Zafzafi? !

L’histoire du makhzen marocain et des violations des droits de l’homme est longue avec de multiples stations et méthodes, des enlèvements, des meurtres, des viols, des tortures et des emprisonnements clandestins, pour n’en nommer que quelques-uns, l’histoire du militant socialiste Mahdi Ben Barka, qui a été tué d’une manière hideuse dans la forêt de Saint-Germain-en-Laye, et c’est après qu’il a été kidnappé par le Mossad, le service de renseignement israélien, à la demande du makhzen, et en collusion silencieuse avec la police française.

Le corps de Ben Barka a été dissous avec de l’acide. La même chose s’est produite avec l’ingénieur du coup d’État de Skhirat, le général Oufkir, qui a été tué par le roi et a emprisonné toute sa famille dans la prison de Tazmamart.

L’histoire est raconté par sa fille dans un livre ou elle détaille la façon dont sa famille a été torturé avec une brutalité sans précédent dans laquelle les droits de l’homme ont été violés à un degré inimaginable, et cela pendant 20 ans d’emprisonnement sous terre.

Le cas du dissident marocain d’origine juive, Ibrahim Sarfati, dont les origines remontent aux juifs « séfarades », Le roi Hassan II l’a condamné à la réclusion à perpétuité de 1975 à 1991, puis contraint le roi l’a libéré sous la pression de la France et du lobby juif.

Quant aux assassinats, après l’assassinat du général Oufkir, un autre général, proche du roi Hassan II, a été tué le 25 janvier 1983 à Marrakech en raison d’un problème au sein du palais royal.

Ce sont quelques exemples du passé récent, et aujourd’hui le combattant révolutionnaire, Nasser Zefzafi, est en prison, sans parler des violations quotidiennes des terres sahariennes occupées, après les manifestations de « Gdim izik » qui ont été réprimés par la force, les balles, l’exil et la torture des militants sahraouis par les services de renseignement du Makhzen et son appareil répressif qui poursuit les sahraouis libres chez eux et à l’étranger sont en violation flagrante des droits de l’homme et des principes universels.

Quel est l’avenir d’une monarchie basée sur l’oppression et l’intimidation, et son histoire est pleine d’assassinats et de violations, et elle n’a pas pris de leçon après les massacres contre les sahraouis, les assassinats d’Oufkir, l’emprisonnement de sa famille dans la prison de Tazmmaart, l’assassinat d’Ahmed al-Dailami, la prison d’Ibrahim Sarfati et l’arrestation de Nasser Zafzafi.

Cela se passe devant le silence international complice

Articles similaires

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

douze − dix =

Bouton retour en haut de la page