L’intervention de l’UE dans les affaires Algériennes est en effet une négociation politique à des fins économiques, car cette structure politique n’a pas parlé de la répression des gilets jaunes en France, du génocide des Rohingya, ni de l’intervention turque dans le nord de la Syrie.
Mais avec l’approche des présidentielles en Algérie, des pouvoirs politiques bien connues pour leur haine envers l’Algérie et avec des arrières pensées coloniales viennent se mêler à un dossier qui ne les concerne pas, alors qu’ils sont pleinement conscients que les problèmes de l’Europe sont plus importants, ou encore la violation de légitimité qui ce se passe en Libye par l’agent « Haftar » avec l’appui des Français et des Britanniques.
L’Algérie sait que le gang a des réseaux en Europe qui ont eu une bonne part de bénéfices à l’époque du président déchue, et que la plupart des projets obtenus par la France étaient avec la complicité du gang et de ses chiens qui ont volé l’argent public et maintenant ils sont en train de crever en prison d’El Harrach.
Ils font la pression pour négocier certains intérêts qu’ils partagent avec le gang et les traitres qui ont détruit l’Algérie, mais les positions de l’Union européenne ne nous importent peu, ce n’est que fanfare en farine et les chiens aboient et la caravane passe.
