C’est la fête de l’amour mais l’amour est absent
Le 14 février, jour de la Saint-Valentin est revenu mais pas de signes d’amour au temps de Corona, comme avait déjà écrit dans son chef-d’œuvre, Gabriel Garcia Marquez « L’amour au temps du choléra ».
L’épidémie de Corona a tout dévasté, et la crise économique a affecté les sentiments et les poches des gens, alors que reste à l’amour à l’époque d’une société dans laquelle la haine, la jalousie destructrice prévalent, une société qui est prédominé par le matériel au détriment de sentiments sincères, une société dans laquelle la haine et la discorde s’intensifient.
Tout cela est à cause et c’est la conséquence de la décennie noire et les vestiges d’années de sang et de larmes. Et en plus l’épidémie de Corona et ses répercussions psychologiques, sociales et économiques, et l’absence d’un projet communautaire et la lutte idéologique entre les élites.
Ajoutez à cela les maladies de l’époque et l’absence de scrupules religieux et moraux et comme Hafez Ibrahim a dit « les nations c’est la morale, s’il n’y a plus de morale, il n’y aura pas de nations.”
Quel amour reste-t-il dans cette société effrayante où nous ne nous connaissons plus ?
Nous attachons tous les signes de l’échec à la situation politique, mais en fait le problème en Algérie est avant tout moral.
La fête de l’amour est revenue comme d’habitude, mais malheureusement l’amour est absent.