Les livres sacrés et le Congrès américain

La plus belle chose qui marqua les ‘‘Midterms’’, les élections de mi-mandat du Congrès et du Sénat des Etats-Unis, c’était bien le serment prêté par les élus au Congrès américain… il y avait le Coran, l’Evangile, la Torah, les livres des bouddhistes, des hindous, et même ceux des athées.
Même si nous croyons que la religion chez Dieu est bien l’Islam, nous avons évoqué ce sujet pour mettre la lumière sur le travail démocratique effectif aux Etats-Unis, et la conviction des américains de la liberté de croyance en paroles et en actes, malgré les hués de certains extrémistes. Cela n’a pas empêché le Congrès américain de concrétiser la tolérance entre les religions et de présenter une image des Etats-Unis en tant qu’un pays multireligieux et multiethnique, comme une récapitulation à l’action électorale, pour une patrie unique pour tout le monde, et que le rêve américain persiste encore, et l’on peut réaliser même avec le mur de Trump, ce mur raciste vis-à-vis des pays de l’Amérique latine en général et du Mexique en particulier, ce prétexte de garantir la sécurité nationale et de lutter contre l’immigration clandestine.
La sacralité du rêve américain a été approuvée par celle des livres, sur lesquels les députés du peuple ont prêté serment, sous les auspices d’une grande nation, dénommée les Etats-Unis d’Amérique.