Dans la jurisprudence islamique, il est de règle que pour décrire ou définir n’importe quoi, il serait préférable de commencer par l’exclusion de ce qui ne lui appartient pas.
Cette règle s’applique à la Libye, si nous voulons décrire ce qui se passe en Libye, nous devrons commencer par exclure les hors-la-loi et les mercenaires russes amenés par des gangs appartenant à certains états qui veulent étendre leur contrôle sur les richesses de la Libye, nous parlons ici des Emirats Arabes Unis et de la société DP « Dubai Port », comme le dit le gouvernement légitime de « Fayez al-Sarraj », nous parlons aussi de l’Egypte avec ses collaborateurs qui veulent partager les richesses de la Lybie, la France et aussi l’Italie , en raison de la pression exercée par les multinationales pour partager les biens de Kadhafi et transformer La Libye en « Pérou de notre ère ».
Aujourd’hui, l’ancien agent de la CIA « Kalifa Haftar », maréchal capturé et torturé par coups de matraques dans la « bande d’Aouzou » par un groupe de soldats tchadiens, veut effectuer de sales tâches pour le compte de grandes puissances et aussi des minorités, telles que la compagnie « Black water » et les mercenaires de l’ancienne armée soviétique.
Ces gangs sont entrés en Libye, parfois à la demande et parfois par la force des choses ou par procuration, leurs méthodes militaires nous rappellent les milices ou gangs du mercenaire français « Bob Denard » en Afrique.
les seuls affectés par le chaos et l’instabilité en Libye, sont les pays voisins, en particulier l’Algérie, et l’instabilité pourrait enflammer les côtes africaines, ce qui pourrait devenir une «zone de repli» pour les milices et les gangs qui pourraient s’allier à des trafiquants de drogue et à des groupes terroristes tant que l’intérêt est le même « l’argent » et la Libye est une terre prête pour tous les crimes, du trafic d’êtres humains à la contrebande de pétrole et d’armes, le tout sous l’œil du « Big Brother », dont la diplomatie de Donald Trump est entre les mains du complexe militaro-industriel américain, et la présence de Mike Pompeo, l’ancien responsable de la CIA à sa tête n’est que preuve que les malheurs de certaines nations « quand se sont les républicains qui sont au pouvoir des USA » est profil ?!
Cela va de George Bush à Trump parce que leur logique est que la fin justifie les moyens.
