La constitution et les intentions du président

Le président Abdelmadjid Tebboune n’a pas attendu un vote ou un référendum sur la nouvelle constitution pour montrer ses bonnes intentions dans ce qu’il avait promis lors de sa campagne électorale, et c’est un précédent dans l’histoire des présidents algériens et une action nationale à compter pour l’homme.
Le président a renoncé à une partie importante de ses pouvoirs et a réduit le rôle des pouvoirs élargis du président, ce que le peuple n’a pas l’habitude de voir depuis l’indépendance, mais au contraire, nous avons vu des présidents élargir de leurs pouvoirs et ajouter des tâches à leur compte au détriment de l’autorité du pouvoir exécutif ou législatif. Le président a confié certaines tâches au premier ministre, alors que le premier ministre à l’ère du déchu président n’avait que le rôle d’un secrétaire qui exécute des ordres.
Pour cela nous devons être optimistes, car l’avenir s’annonce meilleur, si Dieu le veut, et la nouvelle Algérie a commencé à apparaitre grâce à la volonté du président et ses bonnes intentions « Promesses dues, promesses réalisés ».
Le débat d’aujourd’hui sur le projet de constitution n’est qu’une preuve de la liberté d’expression et d’un esprit de responsabilité loin des enchères et discussions byzantines stériles. Le président Tebboune n’a pas attendu la modification de la constitution pour déterminer les pouvoirs du président ou du système présidentiel ou semi-présidentiel, mais il a montré ses bonnes intentions et sa volonté de changer pour une nouvelle Algérie et un pays qu’il aime à fond.