Les déclarations du président français Macron sur l’Algérie sont une campagne pré-électorale, dans laquelle l’Algérie est un matériau riche dans son discours politique pour faire face à la popularité du candidat « Eric Zemmour » ainsi que pour améliorer l’image de la France après la gifle des sous-marins et le retentissement de la sortie de la France du Mali après l’échec de l’opération Barkhane, dont le Mali veut remplacer le groupe étranger français avec les mercenaires « Wagner », et aussi sa catastrophe dans le bourbier syrien, sa crise avec les gilets jaunes, et son affaire avec son « bon ami » Alexandre Benalla .
Autant de facteurs et de raisons qui préviennent de son départ confirmé de l’Elysée lors des prochaines élections présidentielles, notamment avec la concurrence acharnée du candidat Eric Zemmour et de la candidate Marine Le Pen.
Tous ces facteurs et la pression des patrons d’entreprises qui ont fait faillite à cause de l’emprisonnement de leurs fournisseurs algériens en argent ont aussi poussé le président Macron à parler des harkis et de l’Algérie.
Ce que fait Macron est une extension du plan du gang algérien et du makgzen marocain et Israël pour faire pression sur l’Algérie pour qu’elle se rende aux intérêts coloniaux politiquement et économiquement échoués de la France, donc il n’y a aucune influence sur l’Algérie et son peuple des mensonges d’un adolescent vide qui vit encore son adolescence avec son professeur, téméraire, psychologiquement complexe qui se prend pour le nouveau Napoléon et qui est en fait un politicien de second plan, un « monologuiste » qui aime parler.
Enfin, nous disons ce que le grand poète Moufdi Zakaria a dit : « Oh France, l’heure du jugement est passée… O France, l’heure des comptes est venue ».
Vive l’Algérie, gloire et éternité à nos justes martyrs, et que les yeux des lâches ne dorment jamais.
