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L’entité sioniste utilise l’arme de la désinformation dans son agression contre Ghaza (Dominique de Villepin)

L’entité sioniste a utilisé l’arme de la désinformation dans son agression contre Ghaza dont l’objectif est de ternir l’image de la résistance palestinienne et de gagner la guerre médiatique, a soutenu, lundi à Alger, l’ancien Premier ministre français, Dominique de Villepin. La conférence animée par M. de Villepin à l’Institut de journalisme de l’Université d’Alger s’est déroulée en présence du ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Kamel Baddari, de diplomates, d’universitaires, de responsables d’organisations de la société civile et de nombreux étudiants. M. de Villepin a expliqué que l’entité sioniste utilisait l’arme de la désinformation parallèlement à son agression contre le peuple palestinien, dans la bande de Ghaza, alléguant sur de prétendus assassinats de nouveau-nés et de viols par les résistants palestiniens, une accusation qui s’est avérée fausse, et qui devrait impliquer, selon lui, l’intervention d’institutions internationales. C’est dans ce genre de cas que « nous avons besoin d’institutions qui nous permettent de dire (la vérité). D’un côté, (il y a) la justice internationale, quand les médias ne sont pas là pour dire les choses, et la capacité des Etats (à mener) des enquêtes internationales permettant de corriger les faits », a-t-il soutenu. Plus généralement, l’ancien Premier ministre français a estimé qu’un effort devait également être fait pour garantir l’application du droit international, un objectif « extraordinairement difficile » car, a-t-il précisé, le monde d’aujourd’hui est marqué par une « tentation permanente de recourir aux armes (et) d’aller vers les extrêmes ». Interrogé au sujet des perspectives de développement des pays africains sur le plan économique, M. de Villepin a encouragé la création de nouvelles organisations africaines régionales, même à petite échelle, entre deux ou trois pays, afin de lever les barrières qui existent entre les pays d’un continent aux « richesses absolument colossales et dont on ne connaît encore qu’une partie ». Développer davantage les organisations africaines qui existent déjà devrait également être une priorité, a-t-il assuré. Sur un autre plan, l’invité de l’Université d’Alger a évoqué les relations entre l’Algérie et la France, estimant que les deux pays avaient « une relation globale ». Il ne s’agit pas, dira-t-il, d’une « relation qui a vocation à se déterminer à partir d’intérêts économiques, c’est une relation globale historique, inscrite dans l’histoire qui imprègne nos mémoires et qui a vocation à être une relation d’Etat à Etat, de peuple à peuple, de culture à culture et qui concerne (…) la vision que nous avons du monde ». Pour ce qui est de la question mémorielle, il a dit avoir noté des « progrès » entre les deux Etats, à travers les années, signalant que ce qui a été réalisé sur cette question est aussi le travail d’intellectuels, d’écrivains et d’artistes « qui ont pu soigner, dans l’imaginaire, ce que nous n’arrivions pas à soigner dans le réel ».

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