Le journalisme est liberté et responsabilité, une profession noble et une voix pour les sans voix, il est beau d’écrire librement et le plus beau est d’écrire de manière responsable, et la chose sacrée dans cette profession est de défendre vos principes et les fondements de votre nation, votre religion et votre pays, et c’est le sens le plus beau et le plus élevé du journalisme.
La patrie et ses intérêts sont une ligne rouge, et la liberté de la presse devient limité quand il s’agit de patrie, comme l’a dit le Premier ministre canadien, la presse nationale est celle qui s’enracine dans l’intérêt de son état et de son peuple et se tient aux côtés de son état au premier rang pour défendre son unité territoriale et populaire sans exagération et sans offres, en particulier contre les propos incorrects de la presse étrangère et contre les traîtres.
Les médias nationaux honnêtes sont ceux qui placent la nation au-dessus de la profession et au-dessus de toute considération. Il n’y a aucun intérêt sans patrie, ni nation sans presse, car la liberté d’expression s’arrête lorsque l’intérêt de la patrie commence.
