Les ondes de médiocrité passent à la radio Algérienne ?!

Il n’ya de discussion à la radio nationale que sur les décisions et les actions du nouveau directeur spécialiste en « agronomie », qui a déjà travaillé à la chaîne 3 et devenu par miracle le directeur de la radio Algérienne, lui qui ne fait pas la différence entre professionnalisme et autres tâches qu’il maitrise bien lui et ceux qui lui ressemblent dans les médias nationaux et qui sont devenus des directeurs agissant au compte de « certains hommes ».
Les médias publics sont à l’origine un service qui sert les intérêts supérieurs du pays, loin de l’exploitation ou des enchères politiques et l’efficacité dans le travail consiste à maîtriser l’art de faire la distinction entre la liberté d’expression garantie par les conventions internationales et les intérêts du pays et de l’État, déterminés par la conscience professionnelle et la responsabilité morale.
Mais qu’un responsable se transforme en planton c’est une erreur que commet les débouchés d’écoles de médiocrité.
« La dictature en salle de rédaction tue la créativité » disait Hassanein Heikal. Nous défendons ici les médias libres responsables de toute exploitation politique, linguistique ou ethnique et nous n’acceptons pas faire de la radio une plate-forme politique servant les intérêts des forces étrangères et régionales, et cela ne se fera que par l’efficacité, le patriotisme et la loyauté envers la patrie, et non par les façons que le gang et ses queues nous ont habitués à travers Toufik Khelladi et d’autres comme lui.